Bob Lescaux, Venise
Bob Lescaux, le maitre des impressions visuelles et de la réalité
« Ses œuvres jouent sur les paradoxes en insérant dans un univers existant une situation en total déphasage avec son environnement. La perspective, souvent très appuyée, est le fil conducteur de toute sa peinture. Grâce à elle, il donne au spectateur la possibilité d’aller au fond du tableau, de l’autre côté du cadre, vers un ailleurs qui n’appartiendrait qu’à lui.
Les trains, les gares, les paquebots, les grands espaces sont des sources d’inspiration pour lui. Il reste attaché à l’univers de l’enfance : sa fascination pour les jouets anciens dont il est collectionneur le conduit à intégrer dans son œuvre poupées, mannequins, pantins équilibristes qu’il peint avec passion en les situant dans un univers basculant.
Les tableaux et reproductions présentés dans l’exposition témoignent de l’étendue de l’œuvre de ce peintre prolifique dont la majeure partie des toiles a été vendue du vivant de l’artiste et a intégré des collections privées en Europe mais également aux USA, au Brésil, au Japon. »
Né à Lille, Bob Lescaux, s’initie à la gravure en taille douce, à l’eau forte, etc. à la fin de ses études. Directeur artistique dans de grandes agences de publicité, il se consacre définitivement à la peinture à partir de 1976. Ses expositions en France et à l’étranger rencontrent l’admiration du public et le respect de la profession.
Le peintre retranscrit le monde qui l’entoure, sa vision, son présent, sa mélodie intérieure – enfant unique, ses tableaux sont une partie de sa mémoire. Fasciné par Venise, Lescaux n’a de cesse de la peindre et de l’aimer. Dans ses toiles, on retrouve le mystère et la magie de la Sérénissime mêlés d’absurde et de dérision.
Figure emblématique de l’art contemporain
Dans l’univers fascinant de l’art contemporain, Bob Lescaux s’impose comme une figure emblématique, reconnu pour ses œuvres qui captivent non seulement par leur esthétisme, mais également par la profondeur des messages qu’elles transmettent. Le style de Bob Lescaux, que l’on pourrait décrire comme du surréalisme contemporain, s’éloigne des strictes représentations réalistes pour plonger dans l’absurde et l’étrange.
Lescaux utilise des lignes nettes et des formes précises, s’inspirant des maitres du passé tout en intégrant les techniques modernes. Ce mélange de classicisme et de moderne crée une accessibilité qui attire à la fois les critiques et le grand public. En intégrant les éléments de la culture pop, Lescaux établit une connexion avec le spectateur, faisant de son art une conversation visuelle qui transcende les frontières et les générations. Lescaux peint la réalité avec une attention particulière sur la perspective et le mystère.
Puisqu’il nous fallait choisir un tableau, nous nous sommes arrêtés sur :
Vertige irlandais, Huile sur toile
Ce tableau de Bob Lescaux présente une scène urbaine fascinante où une main géante se tient au-dessus d’une ville, avec, dans sa main un homme à demi agenouillé sur ce qui semble être de la cendre ou du goudron, tenant à la main ce qui semble être un bidon ou un cartable. Qui est-il ? Un ouvrier peut-être ? Peut-être pas. Veut-il fuir ? Observe-t ’il seulement ou se sent-il au bord du gouffre ?
Ce tableau est une illustration parfaite du style de Bob qui juxtapose des éléments de réalisme avec un certain surréalisme, créant une tension entre l’échelle humaine et l’immensité de l’environnement urbain. L’œuvre invite le spectateur à contempler sa place dans le monde urbain et soulève des interrogations sur la fragilité des choses que nous considérons comme importantes. Ce tableau illustre également la capacité de l’art à éveiller des émotions et à encourager la réflexion sur notre existence dans un espace souvent écrasant.
Pourquoi ce titre ?
Pourquoi ce titre ? Peut-être parce que le terme vertige fait référence à une sensation de désorientation ou de perte de repères qui peut être associée à des expériences de la vie moderne ou au mode de vie en milieu urbain. Le mot vertige évoque ici un sentiment de déséquilibre, d’effroi, face à une réalité déroutante. Il suggère une chute, tant physique qu’émotionnelle, face aux forces qui nous dépassent.
L’adjectif irlandais pourrait signaler une référence culturelle ou historique, ou pourrait être lié à des thèmes d’identité ou d’exil, souvent explorés dans l’art irlandais. Il peut également inviter à penser à une culture aux riches traditions et à une histoire marquée par l’exil ou la mélancolie. Il est possible que l’artiste ait cherché à mélanger l’imaginaire irlandais -souvent imprégné de légendes et de mystères- avec la sensation du vertige provoquée par la modernité ou par des bouleversements intérieurs.
Mais cela, Bob ne l’a pas dit à sa fille. A nous d’imaginer…
« Ses œuvres jouent sur les paradoxes en insérant dans un univers existant une situation en total déphasage avec son environnement. La perspective, souvent très appuyée, est le fil conducteur de toute sa peinture. Grâce à elle, il donne au spectateur la possibilité d’aller au fond du tableau, de l’autre côté du cadre, vers un ailleurs qui n’appartiendrait qu’à lui.
Les trains, les gares, les paquebots, les grands espaces sont des sources d’inspiration pour lui. Il reste attaché à l’univers de l’enfance : sa fascination pour les jouets anciens dont il est collectionneur le conduit à intégrer dans son œuvre poupées, mannequins, pantins équilibristes qu’il peint avec passion en les situant dans un univers basculant.
Les tableaux et reproductions présentés dans l’exposition témoignent de l’étendue de l’œuvre de ce peintre prolifique dont la majeure partie des toiles a été vendue du vivant de l’artiste et a intégré des collections privées en Europe mais également aux USA, au Brésil, au Japon. »
Né à Lille, Bob Lescaux, s’initie à la gravure en taille douce, à l’eau forte, etc. à la fin de ses études. Directeur artistique dans de grandes agences de publicité, il se consacre définitivement à la peinture à partir de 1976. Ses expositions en France et à l’étranger rencontrent l’admiration du public et le respect de la profession.
Le peintre retranscrit le monde qui l’entoure, sa vision, son présent, sa mélodie intérieure – enfant unique, ses tableaux sont une partie de sa mémoire. Fasciné par Venise, Lescaux n’a de cesse de la peindre et de l’aimer. Dans ses toiles, on retrouve le mystère et la magie de la Sérénissime mêlés d’absurde et de dérision.
Figure emblématique de l’art contemporain
Dans l’univers fascinant de l’art contemporain, Bob Lescaux s’impose comme une figure emblématique, reconnu pour ses œuvres qui captivent non seulement par leur esthétisme, mais également par la profondeur des messages qu’elles transmettent. Le style de Bob Lescaux, que l’on pourrait décrire comme du surréalisme contemporain, s’éloigne des strictes représentations réalistes pour plonger dans l’absurde et l’étrange.
Lescaux utilise des lignes nettes et des formes précises, s’inspirant des maitres du passé tout en intégrant les techniques modernes. Ce mélange de classicisme et de moderne crée une accessibilité qui attire à la fois les critiques et le grand public. En intégrant les éléments de la culture pop, Lescaux établit une connexion avec le spectateur, faisant de son art une conversation visuelle qui transcende les frontières et les générations. Lescaux peint la réalité avec une attention particulière sur la perspective et le mystère.
Puisqu’il nous fallait choisir un tableau, nous nous sommes arrêtés sur :
Vertige irlandais, Huile sur toile
Ce tableau de Bob Lescaux présente une scène urbaine fascinante où une main géante se tient au-dessus d’une ville, avec, dans sa main un homme à demi agenouillé sur ce qui semble être de la cendre ou du goudron, tenant à la main ce qui semble être un bidon ou un cartable. Qui est-il ? Un ouvrier peut-être ? Peut-être pas. Veut-il fuir ? Observe-t ’il seulement ou se sent-il au bord du gouffre ?
Ce tableau est une illustration parfaite du style de Bob qui juxtapose des éléments de réalisme avec un certain surréalisme, créant une tension entre l’échelle humaine et l’immensité de l’environnement urbain. L’œuvre invite le spectateur à contempler sa place dans le monde urbain et soulève des interrogations sur la fragilité des choses que nous considérons comme importantes. Ce tableau illustre également la capacité de l’art à éveiller des émotions et à encourager la réflexion sur notre existence dans un espace souvent écrasant.
Pourquoi ce titre ?
Pourquoi ce titre ? Peut-être parce que le terme vertige fait référence à une sensation de désorientation ou de perte de repères qui peut être associée à des expériences de la vie moderne ou au mode de vie en milieu urbain. Le mot vertige évoque ici un sentiment de déséquilibre, d’effroi, face à une réalité déroutante. Il suggère une chute, tant physique qu’émotionnelle, face aux forces qui nous dépassent.
L’adjectif irlandais pourrait signaler une référence culturelle ou historique, ou pourrait être lié à des thèmes d’identité ou d’exil, souvent explorés dans l’art irlandais. Il peut également inviter à penser à une culture aux riches traditions et à une histoire marquée par l’exil ou la mélancolie. Il est possible que l’artiste ait cherché à mélanger l’imaginaire irlandais -souvent imprégné de légendes et de mystères- avec la sensation du vertige provoquée par la modernité ou par des bouleversements intérieurs.
Mais cela, Bob ne l’a pas dit à sa fille. A nous d’imaginer…
Bob Lescaux, Peintre de l’ailleurs
Une dualité dans les couleurs, caractéristique du travail de Lescaux
La première chose qui frappe lorsqu’on observe le tableau est la palette de couleurs choisies par Lescaux. Les teintes dominantes de bleus et de gris créent une ambiance à la fois urbaine et contemplative. Ces couleurs froides évoquent un sentiment de distance et de sérénité, contrastant avec les touches plus chaudes que l’on retrouve dans les illuminations dorées en arrière-plan. Cette dualité est caractéristique du travail de Lescaux, qui joue souvent avec les oppositions chromatiques pour enrichir l’interprétation de ses œuvres.
Les bâtiments, témoins silencieux
Les bâtiments, d’une architecture moderne et géométrique, se dressent comme des témoins silencieux d’une ville en constant mouvement. Les nuances délicates dans les façades suggèrent un jeu d’ombres et de lumières, propulsant le spectateur au cœur de cette métropole impressionnante où la nature humaine semble si fragile. Le ciel pastel apporte une touche de rêve à cette composition, réalisant une noble tentative de marier le monde matériel à l’imaginaire.
Un message social puissant
Sous ces couches de couleur et de forme, ‘Vertige irlandais’ transmet un message social puissant. En mettant en scène un personnage miniature dans la paume d’une main géante en surplomb, l’artiste questionne notre place dans la société moderne. Ce tableau soulève des réflexions sur la relation entre l’individu et la collectivité, sur l’aliénation ressentie au milieu des géants que sont les grandes villes.
Les panneaux publicitaires qui bordent les immeubles évoquent la culture de consommation omniprésente, soulignant la pression constante que la société exerce sur l’individu.
Au-delà de l’esthétique, Lescaux invite à une introspection sur notre façon de vivre, de travailler et de coexister dans un monde où l’anonymat règne en maitre. Le petit personnage, bien qu’il se trouve sur un support colossal, semble déraciné, accentuant l’idée que, malgré notre taille ou nos ambitions, chaque individu reste souvent insignifiant dans le grand schéma urbain.
« Taf Hôtel »
La mention Taf Hôtel sur la structure en arrière-plan attire immédiatement l’attention. Le terme ‘Taf’, c’est le travail dans le langage familier, le labeur. Le fait que cet hôtel soit inscrit dans cet environnement et avec ce nom souligne l’idée que même les lieux d’hébergements, qui devraient incarner détente et repos, sont soumis aux impératifs de l’économie du travail. Cet hôtel pourrait symboliser la quête incessante d’un refuge dans un monde où le travail et la productivité dominent. La mention peut symboliser, dans ce contexte, la mécanique de la vie quotidienne qui nous pousse à oublier notre individualité en nous entrainant dans un cycle répétitif et aliénant.
Un récit complexe
Tous ces éléments – Taf Hôtel, publicité Canon, visage humain en affiche- tissent un récit complexe sur notre condition contemporaine. Ils invitent à une réflexion sur notre place dans la société moderne, sur le sens du travail, le phénomène de consommation et la pression de l’urbanisation. En définitive, Lescaux a créé une œuvre qui résonne avec la condition humaine au XXIe siècle ! Chaque coup de pinceau, chaque choix de couleur, chaque élément de composition sont calculés pour atteindre un but précis : éveiller la conscience du spectateur.
Immensité de la vision de l’artiste
Les œuvres de Lescaux, ne sont pas de simples œuvres d’art ; ce sont des pièces maitresses qui engagent un dialogue profond avec le public.
Elles trouvent leur place au sein des galeries modernes où l’on apprécie non seulement la technique, mais aussi le message.
Les visiteurs sont confrontés à leur propre réalité, provoquée par l’immensité de la vision de Lescaux. Son art nous pousse à questionner la relation que nous entretenons avec notre environnement et à envisager les voies vers une prise de conscience plus profonde de notre humanité.
Une esthétique éblouissante
Par son style surréaliste, son talent et la perfection de son art, Lescaux suscite l’imagination, laissant à chacun le choix de l’interprétation tout en ouvrant le chemin vers l’extérieur et tout en nous offrant une esthétique éblouissante.
Le Pôle Culturel de l’usine électrique d’Allauch
*‘’À travers la réhabilitation de cette friche industrielle, la Municipalité a tenu deux objectifs : sauvegarder le patrimoine d'Allauch et pérenniser son développement culturel en transformant cette ancienne friche industrielle en haut lieu de l'Art sous toutes ses formes. Idéalement situé et facile d’accès, le bâtiment historique comme ses bâtiments annexes, participent à sa vocation culturelle de dimension régionale.
Érigé à l’entrée du village, ce site unique, qui a vu le jour en 1906 et qui a été entièrement restauré au terme de 36 mois de travaux, a vocation à devenir un site culturel provençal incontournable. À quelques encablures du Garlaban, ce site emblématique participe à la revitalisation du village avec son espace de stationnement et un parcours proposé aux visiteurs pour découvrir Allauch.’’
Ce pôle culturel comprend les espaces suivants :
- Une immense médiathèque (plus de 800 m²) ;
- Des espaces d’exposition au rez-de-chaussée de l’Usine Électrique
- La nouvelle Maison du Tourisme
- Un espace de coworking (dans les bâtiments annexes)
Danielle Dufour-Verna
*site Allauch.com
La première chose qui frappe lorsqu’on observe le tableau est la palette de couleurs choisies par Lescaux. Les teintes dominantes de bleus et de gris créent une ambiance à la fois urbaine et contemplative. Ces couleurs froides évoquent un sentiment de distance et de sérénité, contrastant avec les touches plus chaudes que l’on retrouve dans les illuminations dorées en arrière-plan. Cette dualité est caractéristique du travail de Lescaux, qui joue souvent avec les oppositions chromatiques pour enrichir l’interprétation de ses œuvres.
Les bâtiments, témoins silencieux
Les bâtiments, d’une architecture moderne et géométrique, se dressent comme des témoins silencieux d’une ville en constant mouvement. Les nuances délicates dans les façades suggèrent un jeu d’ombres et de lumières, propulsant le spectateur au cœur de cette métropole impressionnante où la nature humaine semble si fragile. Le ciel pastel apporte une touche de rêve à cette composition, réalisant une noble tentative de marier le monde matériel à l’imaginaire.
Un message social puissant
Sous ces couches de couleur et de forme, ‘Vertige irlandais’ transmet un message social puissant. En mettant en scène un personnage miniature dans la paume d’une main géante en surplomb, l’artiste questionne notre place dans la société moderne. Ce tableau soulève des réflexions sur la relation entre l’individu et la collectivité, sur l’aliénation ressentie au milieu des géants que sont les grandes villes.
Les panneaux publicitaires qui bordent les immeubles évoquent la culture de consommation omniprésente, soulignant la pression constante que la société exerce sur l’individu.
Au-delà de l’esthétique, Lescaux invite à une introspection sur notre façon de vivre, de travailler et de coexister dans un monde où l’anonymat règne en maitre. Le petit personnage, bien qu’il se trouve sur un support colossal, semble déraciné, accentuant l’idée que, malgré notre taille ou nos ambitions, chaque individu reste souvent insignifiant dans le grand schéma urbain.
« Taf Hôtel »
La mention Taf Hôtel sur la structure en arrière-plan attire immédiatement l’attention. Le terme ‘Taf’, c’est le travail dans le langage familier, le labeur. Le fait que cet hôtel soit inscrit dans cet environnement et avec ce nom souligne l’idée que même les lieux d’hébergements, qui devraient incarner détente et repos, sont soumis aux impératifs de l’économie du travail. Cet hôtel pourrait symboliser la quête incessante d’un refuge dans un monde où le travail et la productivité dominent. La mention peut symboliser, dans ce contexte, la mécanique de la vie quotidienne qui nous pousse à oublier notre individualité en nous entrainant dans un cycle répétitif et aliénant.
Un récit complexe
Tous ces éléments – Taf Hôtel, publicité Canon, visage humain en affiche- tissent un récit complexe sur notre condition contemporaine. Ils invitent à une réflexion sur notre place dans la société moderne, sur le sens du travail, le phénomène de consommation et la pression de l’urbanisation. En définitive, Lescaux a créé une œuvre qui résonne avec la condition humaine au XXIe siècle ! Chaque coup de pinceau, chaque choix de couleur, chaque élément de composition sont calculés pour atteindre un but précis : éveiller la conscience du spectateur.
Immensité de la vision de l’artiste
Les œuvres de Lescaux, ne sont pas de simples œuvres d’art ; ce sont des pièces maitresses qui engagent un dialogue profond avec le public.
Elles trouvent leur place au sein des galeries modernes où l’on apprécie non seulement la technique, mais aussi le message.
Les visiteurs sont confrontés à leur propre réalité, provoquée par l’immensité de la vision de Lescaux. Son art nous pousse à questionner la relation que nous entretenons avec notre environnement et à envisager les voies vers une prise de conscience plus profonde de notre humanité.
Une esthétique éblouissante
Par son style surréaliste, son talent et la perfection de son art, Lescaux suscite l’imagination, laissant à chacun le choix de l’interprétation tout en ouvrant le chemin vers l’extérieur et tout en nous offrant une esthétique éblouissante.
Le Pôle Culturel de l’usine électrique d’Allauch
*‘’À travers la réhabilitation de cette friche industrielle, la Municipalité a tenu deux objectifs : sauvegarder le patrimoine d'Allauch et pérenniser son développement culturel en transformant cette ancienne friche industrielle en haut lieu de l'Art sous toutes ses formes. Idéalement situé et facile d’accès, le bâtiment historique comme ses bâtiments annexes, participent à sa vocation culturelle de dimension régionale.
Érigé à l’entrée du village, ce site unique, qui a vu le jour en 1906 et qui a été entièrement restauré au terme de 36 mois de travaux, a vocation à devenir un site culturel provençal incontournable. À quelques encablures du Garlaban, ce site emblématique participe à la revitalisation du village avec son espace de stationnement et un parcours proposé aux visiteurs pour découvrir Allauch.’’
Ce pôle culturel comprend les espaces suivants :
- Une immense médiathèque (plus de 800 m²) ;
- Des espaces d’exposition au rez-de-chaussée de l’Usine Électrique
- La nouvelle Maison du Tourisme
- Un espace de coworking (dans les bâtiments annexes)
Danielle Dufour-Verna
*site Allauch.com
Info+
Pôle culturel de l'Usine Electrique
Avenue du Général de Gaulle
13190 Allauch
Renseignements
Maison du Tourisme
04 91 10 49 20
Avenue du Général de Gaulle
13190 Allauch
Renseignements
Maison du Tourisme
04 91 10 49 20